L'auteur de l'Ecclésiaste, traditionnellement considéré comme Salomon, réfléchit à la nature du plaisir et du rire, remettant en question leur valeur ultime. Le rire, souvent associé à la joie et au bonheur, est décrit comme une folie, impliquant qu'il pourrait être irrationnel ou dépourvu de substance. La question rhétorique sur ce que le plaisir accomplit suggère que de telles quêtes pourraient ne pas mener à une satisfaction ou un épanouissement durables.
Ce passage s'inscrit dans une exploration plus large du sens de la vie, où l'auteur examine diverses entreprises humaines pour découvrir ce qui compte vraiment. Il rappelle que, bien que le rire et le plaisir puissent apporter une joie temporaire, ils ne fournissent peut-être pas la profonde satisfaction durable que beaucoup recherchent. Au lieu de cela, il encourage une recherche plus profonde de but et de sens dans la vie, au-delà des expériences superficielles ou transitoires.
Le message résonne à travers différentes traditions chrétiennes, invitant les croyants à réfléchir à leur propre vie et à considérer où ils trouvent véritablement la joie et l'épanouissement. Il défie les individus à regarder au-delà de la gratification immédiate et à rechercher une compréhension spirituelle plus profonde du bonheur et du but.