Le fleuve Gihon, mentionné comme le deuxième fleuve qui sort d'Éden, fait partie de la description biblique de la géographie du jardin d'Éden. Son cours à travers le pays de Cush, souvent associé à des régions d'Afrique, indique une vaste zone fertile, riche en ressources. Ce détail géographique souligne l'abondance et la diversité de la création de Dieu, illustrant un monde grouillant de vie et de potentiel. Les fleuves d'Éden symbolisent la subsistance et la vie, fournissant de l'eau, une nécessité fondamentale pour tous les êtres vivants.
La mention de Cush suggère également l'interconnexion entre différentes parties du monde, indiquant que les bénédictions d'Éden étaient destinées à s'étendre au-delà de ses frontières immédiates. Cela peut être vu comme une métaphore de l'étendue de la providence et des soins de Dieu, qui transcendent les limites et englobent toute la création. En réfléchissant à cela, nous sommes rappelés de notre rôle en tant que gardiens de la terre, chargés de prendre soin et de préserver l'environnement, en veillant à ce que ses ressources soient disponibles pour les générations futures.