L'imagerie de la Nouvelle Jérusalem dans l'Apocalypse est riche en symbolisme et en beauté. Les douze portes, chacune faite d'une perle unique, représentent les points d'entrée dans cette ville céleste, soulignant la précieuse rareté d'accès au royaume éternel de Dieu. Les perles, connues pour leur beauté et leur valeur, suggèrent que l'entrée dans cette ville divine est un privilège d'une valeur immense. La description des rues faites d'or, aussi pures que du verre transparent, met en avant la pureté, la sainteté et la perfection divine de la ville. L'or, souvent associé à la richesse et à la pureté, symbolise ici la nature immaculée et glorieuse du lieu de résidence de Dieu.
Cette vision de la Nouvelle Jérusalem sert de source d'espoir et d'encouragement pour les croyants, offrant un aperçu de la maison éternelle promise à ceux qui suivent le Christ. Elle assure aux chrétiens un avenir où ils expérimenteront la plénitude de la présence de Dieu, dans un lieu exempt de douleur, de chagrin et de péché. Ce passage invite les croyants à vivre avec une perspective éternelle, en se concentrant sur la promesse de cette ville parfaite et magnifique où ils habiteront avec Dieu pour toujours.