Dans le parcours de la foi, il y a une transformation qui passe du contrôle du péché à la vie sous la direction de la justice. Ce verset évoque l'état passé d'être « esclaves du péché », où les individus agissaient sans l'influence de la justice. Cet état est marqué par un sentiment de liberté vis-à-vis des contraintes morales, mais c'est une liberté trompeuse qui conduit souvent à un vide spirituel et à une séparation d'avec Dieu.
Vivre dans le péché peut sembler libérateur au début, car cela manque des exigences immédiates de la justice. Cependant, cette soi-disant liberté est en réalité une forme de servitude, car elle empêche les individus de connaître la véritable joie et la paix qui proviennent d'une vie juste. Lorsque l'on se tourne vers la justice, on découvre un nouveau type de liberté : la liberté de la culpabilité, de la honte et des schémas destructeurs du péché. Cette transformation permet aux individus d'aligner leur vie avec la volonté de Dieu, menant à une existence plus épanouissante et pleine de sens. En choisissant la justice, les croyants sont habilités à vivre d'une manière qui reflète leur foi et leurs valeurs, les rapprochant ainsi de Dieu.